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Notre guide des films à ne pas manquer cette semaine

  • Trois Couleurs
  • 2024-02-12

En salles le 14 février : une déchirante love story avec Paul Mescal, un docu emballant sur Bob Marley et un récit intime et fin sur l'identité de genre.

SANS JAMAIS NOUS CONNAÎTRE de Andrew Haigh

Hanté, magnétique, déchirant... Andrew Haigh signe un sublime film de deuil inapaisé, entre fantastique et comédie romantique, qui est aussi le portrait très personnel d’un homme gay ayant grandi dans les eighties. Avec les immenses Paul Mescal et Andrew Scott.

Paul Mescal : « Les relations à deux sont pour moi au centre de notre expérience du drame »

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« Sans jamais nous connaître » d’Andrew Haigh : amour et fantômes

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Andrew Scott : « Si vous ne faites pas d’efforts, tout le monde peut vous paraître étranger »

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20 000 ESPECES D'ABEILLES d'Estíbaliz Urresola Solaguren

Pour son premier long métrage, l’Espagnole Estíbaliz Urresola Solaguren raconte l’été d’une petite fille (Sofía Otero, Prix de la meilleure interprétation à la Berlinale 2023), 8 ans, dans la famille de sa mère au Pays basque espagnol, alors qu’elle prend conscience qu’elle ne se sent pas en adéquation avec le genre (masculin) assigné à sa naissance, ce que ses proches accueillent de différentes manières.

Estíbaliz Urresola Solaguren : « Je suis sensible au sujet du genre et j’ai voulu participer à ce mouvement »

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BOB MARLEY. ONE LOVE de Reinaldo Marcus Green

On n’attendait pas de grand chamboulement avec ce biopic de la légende jamaïcaine du reggae, produit par sa veuve, Rita, et deux de ses enfants. Il réussit pourtant à capter l’essentiel : l’obstination de l’artiste à faire entendre son mantra politique et mystique, l’unité. Et la puissance intacte de sa musique.

« Bob Marley. One Love » de Reinaldo Marcus Green : le reggae dans l'âme

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CHIENNE DE ROUGE de Yamina Zoutat

À la manière d’un « chien de rouge », dressé pour retrouver les proies blessées lors d’une partie de chasse, Yamina Zoutat piste intensément son sujet : le sang. Elle en tire un film mutant, viscéral et réparateur.

« Chienne de rouge » de Yamina Zoutat : un sublime film mutant

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NUIT NOIRE EN ANATOLIE d’Özcan Alper

Anciens contre modernes et refus de la différence... À travers un fait divers sordide, ce film s’inscrit dans une tendance du cinéma turc à mettre en scène la difficulté du pays à faire siennes les évolutions actuelles de la société.

« Nuit noire en Anatolie » d’Özcan Alper : les affres de la Turquie

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