
LES ENFANTS VONT BIEN de Nathan Ambrosioni
Dans le sublime Les enfants vont bien, du doué Nathan Ambrosioni, Camille Cottin campe une working girl solitaire, obligée de s’occuper de son neveu et de sa nièce avec son ex (Monia Chokri), après la disparition de sa sœur (Juliette Armanet).

DITES-LUI QUE JE L’AIME de Romane Bohringer
En adaptant l’essai que la députée Clémentine Autain avait écrit sur sa mère en 2019, Romane Bohringer, qui y entremêle son histoire personnelle, signe un film hybride, entre documentaire et fiction, toujours tenu par une émotion gracieuse.

MEKTOUB MY LOVE : CANTO DUE d’Abdellatif Kechiche
Après des années de suspense et d’infinies péripéties de production, montage et projection de sa trilogie Mektoub, My Love, Abdellatif Kechihce sort enfin le dernier volet, après « Canto Uno » en 2018 et « Intermezzo », montré à Cannes en 2019 mais resté inédit en salles. Surprenant par sa mesure, Mektoub, My Love : Canto Due achève, dans un mélange de malice et de beauté crépusculaire, une œuvre déjà légendaire.

REEDLAND de Sven Bresser
Ce premier long métrage néerlandais, en compétition à la Semaine de la Critique, suit un agriculteur qui enquête sur le meurtre d’une adolescente. Et déjoue habilement les attentes du genre dans des paysages singuliers.

QUE MA VOLONTÉ SOIT FAITE de Julia Kowalski
Une jeune fille est soudainement animée de puissants pouvoirs, à l’éveil du désir suscité par sa fascinante voisine. Julia Kowalski signe un grand film de genre sur la queerness, qui n’a pas peur des images dingues et crasseuses.
