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Notre guide des films à ne pas manquer cette semaine

  • Troiscouleurs
  • 2024-04-08

En salles dès le 10 avril : une célèbre femme à barbe, des investisseurs véreux à Tokyo, un infirmière exemplaire sur le départ.

ROSALIE de Stéphanie di Giusto

Stéphanie Di Giusto poursuit son exploration d’un féminin transformé avec ce récit librement inspiré de l’histoire de Clémentine Delait, célèbre femme à barbe de Thaon-les-Vosges.

« Rosalie » de Stéphanie di Giusto : bon poil

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Nadia Tereszkiewicz : « J’aurais aimé dîner avec François Truffaut, pour sa sensibilité, pour tout ce qu'il était »

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LE MAL N'EXISTE PAS de Ryūsuke Hamaguchi

Le cinéaste japonais frappe à nouveau avec une fable éblouissante sur un village rural confronté à la cupidité d’investisseurs venus de Tokyo.

« Le Mal n'existe pas » : la sublime fable de Ryūsuke Hamaguchi

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MADAME HOFMANN de Sébastien Lifshitz

Dans une veine portraitiste qui a fait ses plus beaux documentaires, Sébastien Lifshitz raconte cette fois l’hôpital public, à travers la fuite en avant d’une infirmière cadre sur le point de prendre sa retraite.

« Madame Hofmann » de Sébastien Lifshitz, au plus près

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ENYS MEN de Mark Jenkin

Sous-genre du cinéma d’épouvante aux frontières nébuleuses, qui semble s’inscrire dans le langage courant depuis Midsommar d’Ari Aster, la folk horror s’enrichit d’un regard anglais aussi radical que troublant.

« Enys Men » de Mark Jenkin : le secret de Cornouailles

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QUITTER LA NUIT de DELPHINE de Delphine Girard

Auréolée du retentissement d’« Une soeur », son court métrage nommé aux Oscar en 2020, Delphine Girard règle son premier long sur les mêmes prémisses et à la bonne fréquence. Dans l’écoute minutieuse de ses personnages, la Belgo-Canadienne suit trois trajectoires percutées par un même drame.

« Quitter la nuit » de Delphine Girard : un grand film post MeToo

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Mathieu Palain : « Regarder les agresseurs permet de déceler le déni qui les traverse »

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