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QUEER GUEST · Gregg Araki : « Je me souviens d’avoir été très très troublé »

  • Quentin Grosset
  • 2023-04-06

On a demandé à des figures queer d’âges et d’horizons différents de nous parler de la première image, vue au cinéma ou à la télévision, qui a fait battre leur petit cœur queer. Le chef de file du New Queer Cinema, Gregg Araki, qui présentait en janvier à Sundance la version restaurée de « The Doom Generation », nous parle de ses premiers émois gays à l’écran.

QUEER GUEST est une série d'articles issue de notre rubrique QUEER GAZE, le cinéma LGBTQ+ raconté par la journaliste Timé Zoppé.

Au détour de notre entretien-fleuve de Gregg Araki pour la rubrique Divine Gang de Quentin Grosset, on a demandé au réalisateur de Mysterious Skin (2004), Kaboom (qui a remporté la première Queer Palm du festival de Cannes, en 2010) et la série Now Apocalypse, né à Los Angeles en 1959, de nous parler de la première image qui a résonné avec son identité queer :

« Un film qui me vient à l’esprit, c’est Midnight Express d’Alan Parker [sortie en 1978, ndlr]. Je me souviens d’être allé au cinéma et d’être très intrigué et impliqué par la relation entre le personnage de Brad Davis et l’autre prisonnier. Et c’est intéressant parce que, quelques années après, Brad Davis a joué dans Querelle, l’adaptation de Jean Genet par Rainer Werner Fassbinder [sortie en 1982, ndlr]. J’étais en école de cinéma [à l’université de Californie à Santa Barbara, ndlr] quand c’est sorti. Et je me souviens d’avoir été très très troublé. »

Gregg Araki, toujours no future

Lire l'entretien

Crédit photo image d’ouverture: Copyright Why Not Productions

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