Cannes 2024CinémaPETIT ÉCRANCultureQUEER GAZEDIVINE GANGI.A. QUOI ?Le magazine
  • Article
  • 5 min

Notre guide des films à ne pas manquer cette semaine

  • Trois Couleurs
  • 2023-04-04

En salle dès le 5 avril : un conte de fée interlope sur l'univers du strip-tease, une implacable plongée dans le monde ouvrier, un documentaire poignant sur l'affaire Tarnac, et bien d'autres surprises.

Normale d'Olivier Babinet

Inclassable conteur dont l’imaginaire emprunte aux codes du cinéma américain, du drame social belge et de l’heroic fantasy, Olivier Babinet revient avec un quatrième film où s’agite un truculent vivier d’histoires.

« Normale » d'Olivier Babinet : les pouvoirs de la fantaisie

Lire la critique

A mon seul désir de Lucie Borleteau

Après Chanson douce, Lucie Borleteau signe avec ce troisième long un conte de fée moderne et interlope sur le monde du strip-tease, sans voyeurisme ni outrance.

« À mon seul désir » de Lucie Borleteau : un conte de fée interlope

Lire la critique

L'établi de Mathias Gokalp

Après le déjà remarquable Rien de personnel en 2009, qui traitait des rapports de classe de façon ludique, Mathias Gokalp confirme son talent pour s’emparer de sujets engagés en adaptant ici le célèbre ouvrage du sociologue et philosophe Robert Linhart sur son expérience dans une usine Citroën.

« L'établi » de Mathias Gokalp : une implacable plongée dans le monde ouvrier

Lire la critique

Relaxe d'Audrey Ginestet

Premier long métrage d’Audrey Ginestet, qui en assure aussi une partie de l’image et du son, le documentaire Relaxe impressionne par son mélange de frontalité 
et de douceur pour revenir sur l’affaire Tarnac, qui a secoué la France à la fin 
des années 2000.

« Relaxe » d'Audrey Ginestet : un docu palpitant au coeur de l’affaire Tarnac

Lire la critique

Kokon de Leonie Krippendorff

La cinéaste allemande Leonie Krippendorff signe un teen movie délicat en adoptant le point de vue d’une adolescente berlinoise de 14 ans. Un portrait doux et sensible, reflet, le temps d’un été caniculaire, d’une jeunesse désœuvrée.

« Kokon » de Leonie Krippendorff : l'âge retorse

Lire la critique

Inscrivez-vous à la newsletter

Votre email est uniquement utilisé pour vous adresser les newsletters de mk2. Vous pouvez vous y désinscrire à tout moment via le lien prévu à cet effet intégré à chaque newsletter. Informations légales

Retrouvez-nous sur