Retour à Naples pour le spécialiste des drames amoureux, obsédé par le déclin de la jeunesse et de sa beauté. Après La Main de Dieu en 2021, récit partiellement autobiographique sur la jeunesse de Fabietto, un fan de footbal et de Diego Mardona, Paolo Sorrentino s’attaque au mythe de Parthénope, l’histoire d’une sirène qui, n’ayant pu séduire le bel Ulysse avec ses chants, se jeta dans la mer et se noya. Un drame qui annonce la couleur de ce nouveau film dont la première bande annonce sent bon les amours d’été et la peau dorée par le soleil.
Le synopsis de ce nouveau long métrage, en Compétition Officielle au dernier festival de Cannes, indique : « Parthénope, née dans la mer de Naples en 1950, cherche le bonheur au cours des longs étés de sa jeunesse, tombant amoureuse de sa ville natale et de ses nombreux personnages mémorables. »
La Parthenope de Sorrentino semble être est une femme puissante et séductrice, au sommet de sa beauté, qui en un claquement de doigt met tous les hommes à ses pieds. Mais qu’en sera-t-il demain ?
À la fois récit d’apprentissage, contemplation et réflexion profonde sur le désir et le temps qui passe, le nouveau film du réalisateur italien débarquera dans les salles le 12 mars prochain.
Image © PATHÉ FILMS – Gianni Fiorito