
CRI DU QUEER




« (…) Un récit empathique, authentique et affectueux sur le passage à l’âge adulte d’un jeune adolescent privilégié confronté aux défis sociaux, à la naïveté bourgeoise et à son attirance pour les garçons. Les émotions complexes sont joliment explorées, c’est un portrait tellement percutant, mais certaines scènes sont exagérées et parfois répétitives. Reste que c’est une expérience mélancolique douce-amère, baignée de soleil. L’ensemble est fantastique, et la fin, pour moi, fait mouche. «
CAMPILLO OU GUADAGNINO ?

» Devenir un homme est difficile, et le jeune Enzo l’apprend à ses dépens. Robin Campillo réalise avec sensibilité le film de Laurent Cantet sur le passage à l’âge adulte, un Call Me By Your Name plus pragmatique qui reconnaît qu’un amour de jeunesse peut avoir un impact même s’il n’est pas réciproque. «

« Call Me By Your Name, version maçon ukrainien »

ÇA COINCE

« Cannes #2
Un peu inabouti par moments, mais le film marche plutôt bien et se détache du stéréotypé « succès d’une famille pauvre » en prenant la chose à l’envers. L’histoire est donc assez captivante même si beaucoup d’aspects sont sous-développés, comme le personnage de l’Ukrainien. Assez drôle par moments. L’intrigue est par ailleurs compliquée. »

ET NOUS, DANS TOUT ÇA ?

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