- Critique
- Article
- 2 min
Notre guide des films à ne pas manquer cette semaine
- Troiscouleurs
- 2024-03-26
En salles le 27 mars : un thriller à l'école, le destin de Catherine Parr à la cour du tyrannique Henri VIII, un buddy movie à Buenos Aires, et bien d'autres surprises.
PAS DE VAGUES de Teddy Lussi-Modeste
Racontant l’implacable mécanique qui se met en place autour d’un professeur de collège accusé à tort de harcèlement, Teddy Lussi-Modeste signe un intense thriller à l’écriture complexe qui déplore vigoureusement les manquements de l’institution scolaire.
« Pas de Vagues » de Teddy Lussi-Modeste : un thriller haletant sur le système éducatif
Lire la critiqueCarole Desbarats, ancienne professeure : « Les sociétés sont malades de leur école et le cinéma essaie d’en rendre compte »
Lire l'articleLE JEU DE LA REINE de Karim Aïnouz
Le cinéaste brésilien Karim Aïnouz explore l’histoire des femmes à la cour du tyrannique Henri VIII, en particulier celle de la dernière épouse du roi, la fine et déterminée Catherine Parr. Un grand film pictural.
« Le Jeu de la reine » de Karim Aïnouz : à la cour comme à la guerre
Lire la critiqueLOS DELICUENTES de Rodrigo Moreno
Trois heures de détours entre Buenos Aires et les campagnes alentour, les murs déprimants d’une banque et l’horizon d’une vie moins médiocre. Buddy movie déroutant comme un jeu de quilles burlesque, ce film nous enchante par sa liberté narrative et formelle.
« Los delicuentes » de Rodrigo Moreno : retraite anticipée
Lire la critiqueAPOLONIA APOLONIA de Lea Glob
Pour ce film-portrait gigogne, la documentariste Lea Glob a suivi l’artiste peintre Apolonia Sokol, captant sa vie intime dans l’enceinte d’un théâtre, son parcours aux Beaux-Arts et sa relation avec Oksana Chatchko, l’une des cofondatrices du mouvement Femen.
« Apolonia Apolonia » de Lea Glob : l'art de mouvoir
Lire la critiqueL'AFFAIRE ABEL TREM de Gábor Reisz
En imaginant une affaire qui, comme un rouleau compresseur, s'abat sur un élève de lycée accusant à tort son professeur pendant des examens, le réalisateur hongrois Gábor Reisz peint un tableau très frappant de son pays en pleine division.