La critique de Célestin, 10 ans : «Riddle of Fire» de Weston Razooli

« C’est l’histoire d’une bande de trois enfants : ils ont des motocross et des pistolets de paintball qui leur servent à tirer sur les gens. En vrai, je voudrais bien en avoir un aussi, parce qu’il y a des injustices que j’aimerais bien faire cesser ! Leur but, c’est de rapporter un gâteau pour une maman malade. Au début, tu te dis que c’est un film réaliste, mais en fait c’est plus un film fantastique parce qu’ils affrontent une dame qui a un pouvoir : quand elle dit des mots magiques, les autres lui obéissent

Ça ressemble pas aux autres films pour enfants. Déjà, c’est pas un dessin animé. Ensuite, l’image est un peu vieille : c’est comme si on était des esprits qui regardaient cette histoire. Et puis, les personnages sont des enfants banals qui n’ont pas de pouvoirs. On en a vu plein, des super-héros, et au bout d’un moment tu t’ennuies. Là, on change les règles ! Enfin, ces petits gamins se comportent un peu comme des chevaliers qui n’écoutent pas leur roi. Mais c’est mieux comme ça : s’ils étaient très sages, ça ne donnerait aucune saveur. Donc je suis content qu’ils ne soient pas sages. Mais c’est pas pour ça que je vais pas devenir sage, hein ! »

Riddle of Fire de Weston Razooli, ASC (1 h 54), sortie le 17 avril , dès 10 ans.