
Feeling « Happy » (enfin, autant que faire se peut avec Haneke)
Palme de la meilleure scène de karaoke: HAPPY END de Michael Haneke. #Cannes2017
— Claudia Hébert (@ClaudiaHbrt) 21 mai 2017
Happy End est le premier film d’Haneke dont je ressors le sourire aux lèvres (note: ce qui s’y passe est quand même atroce). #Cannes2017
— Daniel Andreyev (@kamuirobotics) 21 mai 2017
#Cannes2017 j’ai adoré #HappyEnd de Michael Haneke une fable cruelle à la narration d’une précision inouïe. Trintignant est juste magistral.
— Stéphanie Belpêche (@StephBelpeche) 21 mai 2017
Avec #HappyEnd #MichaelHaneke reussit le film-somme parfait. Chef-d’œuvre absolu ! pic.twitter.com/OIzhLNvClJ
— Philippe Rouyer (@philippe_rouyer) 21 mai 2017
Pour une fois qu’on rigole (un peu) devant un film d’Haneke. Assez délicieux ce #HappyEnd #Cannes2017
— Jerome Vermelin (@jvermelin) 21 mai 2017
Mi-figue, mi-raisin
Enthralled by Haneke’s Happy End. Not his best, but a deeply caustic bourgeoise satire. Like the mirror universe Meyerowitz #Cannes2017
— Jordan Farley (@JordanFarley) 21 mai 2017
Happy End est le Split de Haneke. Mais c’est un peu moins bien. #Cannes2017
— christophe narbonne (@chris_narbonne) 21 mai 2017
Pas « Happy » du tout du tout
#HappyEnd : Haneke s’autocaricature dans un menu best-of en forme de jeu de massacre bourgeois. Stérile et surtout assez ringard. RAS
— Renan Cros (@imnotgenekelly) 21 mai 2017
HAPPY END: facile, faux-transgressive and, oh yeah, kinda racist! Someone please tell Haneke that humanism is the new cynicism. #Cannes2017
— Ann Hornaday (@AnnHornaday) 21 mai 2017
#HappyEnd m’a profondément déçu. Je le trouve assez vain. L’impression qu’Haneke se répète inlassablement. #Cannes2017
— Mehdi Omaïs (@MehdiOmais) 21 mai 2017
La ringardise Haneke #Cannes2017 #happyend
— Vincent Malausa (@vmalausa) 21 mai 2017
#Cannes2017 #RTSCannes #HappyEnd Haneke se vautre dans une satire moralisatrice qui fait amèrement regretter l’immense Claude Chabrol
— wolf rafael (@rafaelwolf1703) 21 mai 2017
Et nous, dans tout ça ?
Plus aride et déspéré que jamais, #Haneke filme un monde déjà mort. #cannes2017
— TROISCOULEURS (@Trois_Couleurs) 21 mai 2017