
Emballés, c’est pesé
Double odyssée new-yorkaise raffinée, #Wonderstruck est une oeuvre sublime au travail sonore fantastique ! Premier bijou à #Cannes2017
— Dom Maury Lasmartres (@Silence_Action) 18 mai 2017
Some scenes in WONDERSTRUCK are so achingly beautiful, they gave me goosebumps and brought tears to my eyes #Cannes2017
— FilmLand Empire (@FilmLandEmpire) 18 mai 2017
#wonderstruck Je viens donc de passer 2h à pleurer quasiment non stop.
— EmmaCTeaser (@EmmaCTeaser) 18 mai 2017
Tout juste sortis de #Wonderstruck. On ne va pas vous mentir: nous avons trouvé notre Palme d’Or! #chefdoeuvre #beauté #subtilité #ตมเกาหลี
— Saddam Husserl (@SaddamHusserl) May 18, 2017
WONDERSTRUCK Comme un conte new-yorkais écrit par Dickens. Sauce Méliès. Apparat enfantin, densité magistrale. Ça commence fort #cannes2017
— Thomas Gastaldi (@snooptom) May 18, 2017
Demi-teinte
Haynes s’hugocabretise dans le joli WONDERSTRUCK à l’ambiance THE ARTIST/THE GET DOWN/LA NUIT AU MUSÉE. Un peu in-conte-séquent #Cannes2017
— leo soesanto (@LeoSoesanto) 18 mai 2017
#Cannes2017
Film 2 : #Wonderstruck
Délicieux petit bijou spielbergien dans sa 1e moitié, interminable exercice de style dans sa 2nde.— Jean-Baptiste Morel (@JB__Morel) 18 mai 2017
Non, définitivement non
#Wonderstruck, le mélo Spielberg tenté par Todd Haynes, ultrapersonnel mais étonnamment lourd. Le film de lui que j’ le moins #Cannes2017
— Olivier Joyard (@ojoyard) 18 mai 2017
Et nous, dans tout ça ?
#Wonderstruck Todd Haynes compose un joli conte sur la puissance atemporelle de l’émerveillement propre à l’enfance #Cannes2017
— TROISCOULEURS (@Trois_Couleurs) 18 mai 2017