Cela ne vous a sans doute pas échappé, la religion ne cesse d’irriguer le cinéma de Martin Scorsese (jusqu’à son dernier film Silence, en salle le 8 février 2014). Ses films sont parsemés de références et motifs bibliques : le supplice du Christ dans La dernière tentation du Christ (1989), l’immense tatouage en forme de croix de De Niro dans Les Nerfs à vif (1991) les innombrables morts par crucifixion – celle de John C. Reilly dans Gangs of New York (2002) ou celle de Jack Nicholson dans Les Infiltrés (2006)… Mais au delà de cette iconographie, Scorsese a bien souvent joué de sa mise en scène pour exprimer un point de vue céleste ou divin, se traduisant par des plongées sur ses personnages. L’occase de découvrir ce supercut captivant.
Le point de vue divin chez Martin Scorsese
Cela ne vous a sans doute pas échappé, la religion ne cesse d’irriguer le cinéma de Martin Scorsese (jusqu’à son dernier film Silence, en salle le 8 février 2014). Ses films sont parsemés de références et motifs bibliques : le supplice du Christ dans La dernière tentation du Christ (1989), l’immense tatouage en forme de