Notre guide des films à ne pas manquer cette semaine

Le grand retour de Pamela Anderson dans la peau du showgirl désemparée, un puissant docu-témoignage sur le tabou du viol au Japon ou encore un élégant film d’espionnage avec Cate Blanchett signé Steven Soderbergh.


guide The Last Showgirl
© Constantin Film / Courtesy of Goodfellas

THE LAST SHOWGIRL de Gia Coppola

Magistralement porté par Pamela Anderson et par des seconds rôles ciselés, le troisième long de Gia Coppola explore les derniers jours de travail d’une danseuse de cabaret dont le spectacle est supprimé.

"La Convocation"
« La Convocation » (c) Eye Eye Pictures 2024

LA CONVOCATION de Halfdan Ullmann Tøndel

Irrigué par un propos implacable sur les mécanismes d’acceptation sociale, le film de Halfdan Ullmann Tøndel, Caméra d’or à Cannes 2024, impressionne par son audace formelle et la prestation vertigineuse de Renate Reinsve.

rine mere
« Reine mère »

REINE MÈRE de Manele Labidi

Après Un divan à Tunis (2020), Manele Labidi raconte les aventures rocambolesques d’une famille immigrée qui tente de se construire un petit bout de paradis dans la France de 1991, entre amis imaginaires et préjugés réels.

BLACK BOX DIAIRIES ©2023 Star Sands Cineric Creative Hanashi Films
BLACK BOX DIAIRIES ©2023 Star Sands Cineric Creative Hanashi Films

BLACK BOX DIARIES de Shiori Ito

Dans son documentaire Black Box Diaries, la journaliste et cinéaste Shiori Ito communique sur sa propre agression et expose avec force le tabou du viol dans une société japonaise contemporaine conservatrice.

The Insider
« The Insider » (c) Universal

THE INSIDER de Steven Soderbergh

The Insider de Steven Soderbergh joue avec les codes conjugaux dans ce film d’espionnage élégant et tortueux dans lequel un agent secret soupçonne son épouse de haute trahison.

Blue Sun Palace
« Blue Sun Palace » (c) Nour Films

BLUE SUN PALACE de Constance Tsang

Premier long métrage de la réalisatrice et scénariste sino-américaine Constance Tsang, Blue Sun Palace appréhende l’expérience du deuil à travers une douce plongée au sein de la communauté chinoise new-yorkaise.

ON IRA d’Enya Baroux

La réalisatrice française signe une très fine comédie sur le suicide assisté, dans lequel David Ayala, souvent cantonné au cinéma à des rôles de méchants ou d’escrocs, incarne avec brio un gentil.