
Avec ce montage bien senti de scènes de Solaris (1972), Stalker (1979) et autres chef d’œuvres de Tarkovski, on se rend compte à quel point le réalisateur russe joue avec l’écran : regard-caméra, superpositions… De quoi donner bien envie de se replonger dans sa filmo (ça tombe bien parce que des versions restaurées de certains de ses longs devraient sortir grâce à Potemkine en juillet 2017.)