En écoute : sur Inter, Philippe Garrel parle de rêves freudiens et de La Maman et la Putain de Jean Eustache

Demain sort en salles L’Amant d’un jour de Philippe Garrel, troisième épisode de sa trilogie qu’on pourrait baptiser : « L’amour, c’est la lose » (c’est une proposition). Elle a commencé avec La Jalousie (2013) et s’est poursuivie avec L’Ombre des femmes (2015). À l’occasion de cette sortie, le réal s’est confié au micro de Laure Adler sur


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Demain sort en salles L’Amant d’un jour de Philippe Garrel, troisième épisode de sa trilogie qu’on pourrait baptiser : « L’amour, c’est la lose » (c’est une proposition). Elle a commencé avec La Jalousie (2013) et s’est poursuivie avec L’Ombre des femmes (2015). À l’occasion de cette sortie, le réal s’est confié au micro de Laure Adler sur France Inter. Il y cause de ses premiers émois et coups de cœurs cinématographiques (Jean Eustache, JLG…), mais aussi rêves freudiens. Notez que, pour sa carte blanche musicale, il a choisi la B.O de son film, « Lorsqu’il faudra », titre interprété par Jean-Louis Aubert sur un texte de Michel Houellebecq et qui se finit sur ces paroles : « La vie qui s’en va en riant / Remplir des entités nouvelles, / La vie n’a pas duré longtemps, / La fin de journée est si belle. » En écho total avec le cinéma-spleen du réal.

À écouter ici :