
Si certains ont été gagnés par l’émotion…
#Yomeddine
SUBLIME MERVEILLEUX FOUDROYANT UN VÉRITABLE CHEF-D’OEUVRE OFFERT À L’HUMANITÉ #Cannes2018— Jonathan Pichot (@jonathan44la) 9 mai 2018
#Cannes2018 : #Yomeddine de #abubakrshawky, un touchant road movie égyptien contant le voyage de Beshay, lépreux aujourd’hui guéri, qui quitte sa léproserie pour rechercher sa famille. Standing ovation pour un film surprenant, sincère et lumineux. pic.twitter.com/GcCxEtGDhY
— Olivier Delcroix (@Delcroixx) 9 mai 2018
C’est très chouette Yomeddine, road movie gentil en Égypte qui plairait sûrement à Lynch, entre Une histoire vraie et Elephant Man. #Cannes2018
— David Honnorat (@IMtheRookie) 9 mai 2018
… d’autres l’ont trouvée facile
Bien que naïf, #Yomeddine déploie une touchante amitié entre un lépreux et un petit garçon. Très belle musique, qui rappelle celle des #BetesDuSudSauvage, mais propos un peu enfantin et mise en scène pauvre. #Compétition #Cannes2018 pic.twitter.com/iIfXrtRXtZ
— Mehdi Omaïs (@MehdiOmais) 9 mai 2018
Avec #Yomeddine , #cannes2018 propose un vrai film sympatoche pour les preux festivaliers.
Bon en fait c’est un peu putassier à mort hein. pic.twitter.com/wvZuvygOnv
— Simon Riaux (@SimRiaux) 9 mai 2018
La présence en compétition de #Yomeddine laisse perplexe face à la globale pauvreté (mise en scène, scénario) d’un film voulant montrer le visage de l’exclusion. Au final, l’excès de bons sentiments guette bien vite ce « feel good road-movie » assez minuscule. #Cannes2018 pic.twitter.com/LneJhAc98f
— Céline Bourdin (@bourdinceline) 9 mai 2018
Tweeter simple. Basique.
Yomeddine: un film mignon sur la misère des lépreux en Égypte 6/10 #Cannes2018 pic.twitter.com/0Sq3kXQi4e
— philippe dupuy (@djphilip) 10 mai 2018
Et nous, dans tout ça ?
Yomeddine déroule sans surprise ni bemol la fable humaniste qu’annonçait le pitch – la pointe d’humour en plus
— Juliette Reitzer (@JulietteReitzer) 9 mai 2018