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Notre guide des films à ne pas manquer cette semaine

  • Trois Couleurs
  • 2023-01-31

En salles dès le 1er février : on prépare l'apocalypse avec le grand M. Night Shyamalan, on part en roadtrip avec deux soeurs endeuillées, puis en voyage avec Paul Mescal dans la peau d'un père adulescent, et Léonor Seraille nous offre un récit d'apprentissage fulgurant.

AFTERSUN de Charlotte Wells

Narrant une relation père-fille à rebours, exhumée vingt ans plus tard grâce aux images d’un caméscope de vacances, le premier long métrage de la trentenaire écossaise Charlotte Wells fait montre d’une ampleur esthétique et émotionnelle renversante.

« Aftersun » de Charlotte Wells : hier encore

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KNOCK AT THE CABIN de M.Night Shyamalan

L’imperturbable M. Night Shyamalan poursuit une carrière aussi passionnante qu’obsessionnelle, travaillée par la question de la croyance. Et enferme ici ses personnages dans une cabane pour régler son compte à l’Apocalypse, signant son film le plus ouvertement politique.

« Knock At The Cabin » de M. Night Shyamalan

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LA MONTAGNE de Thomas Salvador

Après Vincent n’a pas d’écailles, merveilleux premier long métrage qui voyait son héros (déjà joué par le cinéaste) touché par la grâce d’un super-pouvoir aquatique, Thomas Salvador reconduit son obsession 
pour la métamorphose, cette fois-ci nichée dans les hauteurs des Alpes.

« La Montagne » de Thomas Salvador : au sommet

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Amore Mio de Guillaume Gouix

Road trip d’une jeune mère en deuil qui part noyer son chagrin avec son enfant et sa sœur sur des routes ensoleillées, le premier long métrage de Guillaume Gouix exalte des sentiments déchirants à l’aide d’un puissant duo d’actrices formé par Alysson Paradis et Élodie Bouchez.

« Amore Mio » de Guillaume Gouix : deuil au soleil

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UN PETIT FRERE de Léonor Séraille

Avec Un petit frère, Léonor Serraille signe un sublime récit d’apprentissage, d’enracinement et de sacrifices à trois voix. L’histoire, sur trente ans, d’une jeune femme, Rose, et de ses deux garçons, arrivés d’Afrique subsaharienne en France à la fin des années 1980. Leurs prénoms – Rose, Jean, Ernest – forment les trois chapitres d’un film dont l’ampleur romanesque et tragique nous a submergés

Léonor Serraille : « La liberté de Rose, c’est sa façon à elle d’embrasser la France »

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