
Ça plane pour les uns
Superbe #Leto de Kirill Serebrennikov.
Souffle époque et poétique, grand opéra rock et politique, au dernier mouvement émotionnellement ravageur.
Quelle photo.
Quelle mise en scène.#Cannes2018 pic.twitter.com/AMfwkMJiG6— Simon Riaux (@SimRiaux) 10 mai 2018
Je souhaite bon courage aux autres films de ma journée passant après LETO. #Cannes2018
— AurelienCTeaser (@AurelienCTeaser) 10 mai 2018
Hymne rock 80s à l’énergie contagieuse #Leto du russe Kirill Serebrennikov -assigné à résidence- fait entendre depuis Moscou un hurlement d’amour et de liberté. Spasiba ! #Cannes2018
— Baptiste Etchegaray (@batetche) 10 mai 2018
Sublime #Lété de K.Serebrennikov ! L’énergie folle du rock, la modernité du cinéma, l’irrévérence de la jeunesse et la mélancolie des fins de fête. Beau et vivant à pleurer. Quelle mise en scène !!! Grand film pic.twitter.com/kyGaXPUW04
— Renan Cros (@imnotgenekelly) 10 mai 2018
Ça crashe pour les autres
Mais vous êtes en roue libre complet sur Leto les ami•e•s, ça n’a rien à faire en compétition. Excellente séance spéciale/hors-compétition, mais c’est une petite chose correcte, rien de plus 🙄 #Cannes2018
— Félix H (@FelHaus) 10 mai 2018
Les deux tweets qui nous ont fait taper « Psychokiller en russe » sur YouTube
Non mais sans déc, Psychokiller en russe, ça vous fait vraiment kiffer ? #Leto #cannes2018 pic.twitter.com/23ffhI0Qb2
— inout-cotedazur (@ICotedazur) 10 mai 2018
Fail de sous-titre dans LETO de Kirill Serebrennikov lorsqu’un personnage annonce qu’il va chanter « Tueur en série »… en fait « Psycho Killer ». Sinon, c’est le 1er film en compétition qui te fait taper du pied et danser sur ton siège depuis longtemps #questcequecest #Cannes2018
— leo soesanto (@LeoSoesanto) 10 mai 2018
Et nous, dans tout ça ?
J’ai trouvé le Serebrennikov, bulle punk dans la Russie communiste, réussi, surtout quand il filme la musique en train de se composer – et j’aime la bonté du rockeur/mentor chargé de spleen #leto #Cannes2018
— Juliette Reitzer (@JulietteReitzer) 10 mai 2018