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Festival de Brive 2023 : nos films préférés
- Quentin Grosset
- 2023-04-06
Alice Diop, Bertrand Mandico, Justine Triet, Vincent Le Port… Tous ces cinéastes sont passés par le festival du moyen-métrage de Brive, en Corrèze, qui fêtait sa 20e édition cette année. On s’y rend pour sa sélection toujours aussi jeune et défricheuse, qui célèbre un format dont on regrette qu’il n’ait pas une distribution plus large en salles. Retour sur les films qui nous ont ému cette année.
Marinaleda de Louis Séguin
Avec Marinaleda, le cinéaste Louis Séguin réanime le mythe du vampire avec élégance, dans un versant absurde et sensuel.
Vu au festival de Brive : « Marinaleda », le film de vampires dandy de Louis Séguin
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Le Bruit de l’eau, le gris du parking - le vert de Théo Sauvé
Dans une narration impressionniste, le documentariste Théo Sauvé esquisse la géographie insaisissable d’un lieu de cruising, un parking près de là où coule l’Ardèche, à côté d’un terrain de foot.
Vu au festival de Brive : « Le Bruit de l’eau, le gris du parking – le vert » de Théo Sauvé, scintillements d’un lieu
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Le Soleil dort de Pablo Dury
Dans un jeu vidéo en ligne puis dans un bois, le cinéaste Pablo Dury s’aventure dans les limbes et les métamorphoses d’une rencontre.
Vu au festival de Brive : « Le Soleil dort » de Pablo Dury, le bois dont les rêves sont faits
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Euridice, Euridice de Lora Mure-Ravaud
Le vibrant Euridice, Euridice a commencé par une envie documentaire : filmer l’actrice italienne Ondina Quadri, qu’on a pu voir dans le mystérieux Piccolo Corpo (2021) de Laura Samani. Mais la cinéaste Lora Mure-Ravaud s’est finalement laissée portée par la personnalité de la fascinante comédienne, laissant libre cours à une envie débordante de fiction.
Vu au festival de Brive : « Euridice, Euridice » de Lora Mure-Ravaud, lumineux portrait fantasmé de l’actrice Ondina Quadri
Lire l'articlePhoto de couverture : Le Soleil dort de Pablo Dury