
« Ce que j’aime, déjà, c’est le monde de Pandora : les bestiaux, toutes les plantes… Mais surtout, même si ça se passe dans un milieu extraterrestre, ça parle de notre monde. Dans le premier film, ce que faisaient les humains était comme une exploitation minière.
Dans Avatar. La voie de l’eau, les humains tuent une espèce de baleine juste pour un flacon de produit. C’était la même chose avec les castors dans notre monde : on les tuait juste pour une petite poche d’huile. Et d’habitude, on montre le point de vue des humains, dans les films : ou bien les aliens sont méchants, ou bien ils sont gentils mais ils sont juste alliés aux humains.
Les Avatar, c’est les seuls films dans lesquels on a un point de vue d’alien, qui montre que les humains, quand ils arrivent dans un endroit, ils détruisent tout. Dans ce film, tu es contre ta propre espèce ! Bref, ce que les gens aiment dans ces films, c’est l’action et le monde d’Avatar, c’est pas forcément les messages. Mais ils sont quand même bien là, ces messages. »
Avatar. La voie de l’eau de James Cameron, Walt Disney (3 h 12), ressortie le 1er octobre, dès 8 ans