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Notre guide des films à ne pas manquer cette semaine

  • Trois Couleurs
  • 2023-08-01

En salles le 2 août : le film-surprise de Quentin Dupieux, une comédie spatiale décalée, un récit doux amer de Yamasaki Juichiro et les aventures de Détective Conan.

YANNICK de Quentin Dupieux

Avec Yannick, film-surprise dont l’existence a été soigneusement tenue secrète, Quentin Dupieux signe une passionnante comédie noire, dans laquelle un spectateur interrompt une mauvaise pièce de boulevard – intitulée Le Cocu – pour reprendre le spectacle en main. Le cinéaste nous parle de ce récit dépouillé, personnel et quasi réaliste qui tranche avec le reste de sa filmographie.

Quentin Dupieux : « J’ai toujours au fond de moi ce goût du film qui ne devrait pas exister »

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ON DIRAIT LA PLANÈTE MARS de Stéphane Lafleur 

Cinq astronautes viennent d’arriver sur Mars. Dans le même temps, leurs sosies psychologiques sont chargés de recréer la mission spatiale sur la terre ferme. Une comédie québécoise qui transforme une situation absurde en un sommet de mélancolie.

« On dirait la planète Mars » de Stéphane Lafleur : une comédie décalée en orbite

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LES TOURNESOLS SAUVAGES de Jaime Rosales

Fresque solaire aussi sincère que chaotique dans laquelle les rêves d’émancipation d’une jeune mère sont contrariés par des figures masculines défaillantes, le nouveau film du réalisateur espagnol révèle surtout le talent brut de sa jeune actrice.

« Les tournesols sauvages » de Jaime Rosales : Julia en 3 chapitres

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YAMABUKI de Yamasaki Juichiro

Jouant des contrastes, le Japonais Juichiro Yamasaki sonde les profondeurs de l’âme humaine pour tenter d’en saisir toutes les subtilités. Un récit poétique doux-amer dans lequel les destinées des personnages s’entremêlent.

« Yamabuki » de Yamasaki Juichiro : rébellion sourde

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DETECTIVE CONAN. LE SOUS-MARIN NOIR de Yuzuru Tachikawa

Notre petit cinéphile Célestin, 9 ans et demi, nous donne son avis sur cet animé d'aventure adapté des aventures du jeune détective Conan.

« Détective Conan : le sous-marin noir » : la critique de Célestin, 9 ans et demi

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