Cannes 2024CinémaPETIT ÉCRANCultureQUEER GAZEDIVINE GANGI.A. QUOI ?Le magazine
  • Critique
  • Article
  • 3 min

Notre guide des films à ne pas manquer cette semaine

  • Trois Couleurs
  • 2023-10-31

En salles dès le 1er novembre : le dernier bijou d'animation d'Hayao Miyazaki, le retour de Marco Bellocchio avec une fresque religieuse grandiose, ou bien la quête existentielle d'une mathématicienne.

LE GARÇON ET LE HÉRON d'Hayao Miyazaki

Pétri par les mystères du deuil, le nouveau film d’Hayao Miyazaki est une fable occulte, aux contours aussi sibyllins que prodigieux. Il confirme la capacité du maître de l’animation japonaise à régénérer son univers anthropomorphe, en lui greffant de nouveaux motifs, toujours plus surréalistes.

« Le Garçon et le héron » : Hayao Miyazaki au pays des morts

Lire la critique

Le cinéma de Miyazaki en 5 obsessions

Lire l'article

L'ENLÈVEMENT de Marco Bellocchio

À 83 ans, Marco Bellocchio aime toujours autant le cinéma. Il le prouve avec cette fresque historique grandiose, qui raconte l’enlèvement d’un garçon juif par l’Église catholique à la fin du XIX siècle.

« L'Enlèvement » de Marco Bellocchio : naissance d’une nation

Lire la critique

LE THÉORÈME DE MARGUERITE d'Anna Novion

Le troisième long métrage d’Anna Novion dessine un personnage de jeune mathématicienne sensible qui décide de tout plaquer après un échec. Le résultat s’impose comme une palpitante quête existentielle dans le Paris contemporain, qui fait rayonner Ella Rumpf.

“Le Théorème de Marguerite” d’Anna Novion : la logique des sentiments

Lire la critique

MMXX de Cristi Puiu

Cristi Puiu, l’un des piliers du cinéma roumain actuel, signe un savoureux film à sketchs sur l’après-Covid. Quatre fois quarante minutes pour brocarder avec acidité la fumisterie d’un « monde d’après » ressemblant en tous points à l’ancien.

“MMXX” de Cristi Puiu : le Covid en quatre farces

Lire la critique

PORTRAITS FANTÔMES de Kleber Mendonça Filho

Quatre ans après le Prix du jury à Cannes, obtenu pour le furieux Bacurau, le cinéaste brésilien Kleber Mendonça Filho revient sur les écrans avec un documentaire, nouvelle pièce d’une œuvre protéiforme qui ne cesse de brasser la mémoire des lieux.

“Portraits fantômes” de Kleber Mendonça Filho : mémoire de cinéma

Lire la critique

Inscrivez-vous à la newsletter

Votre email est uniquement utilisé pour vous adresser les newsletters de mk2. Vous pouvez vous y désinscrire à tout moment via le lien prévu à cet effet intégré à chaque newsletter. Informations légales

Retrouvez-nous sur