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En écoute : sur Inter, Philippe Garrel parle de rêves freudiens et de La Maman et la Putain de Jean Eustache

  • Trois Couleurs
  • 2017-05-30

Demain sort en salles L’Amant d’un jour de Philippe Garrel, troisième épisode de sa trilogie qu’on pourrait baptiser : « L’amour, c’est la lose » (c’est une proposition). Elle a commencé avec La Jalousie (2013) et s’est poursuivie avec L’Ombre des femmes (2015). À l’occasion de cette sortie, le réal s’est confié au micro de Laure Adler sur France Inter. Il y cause de ses premiers émois et coups de cœurs cinématographiques (Jean Eustache, JLG…), mais aussi rêves freudiens. Notez que, pour sa carte blanche musicale, il a choisi la B.O de son film, « Lorsqu’il faudra », titre interprété par Jean-Louis Aubert sur un texte de Michel Houellebecq et qui se finit sur ces paroles : « La vie qui s’en va en riant / Remplir des entités nouvelles, / La vie n’a pas duré longtemps, / La fin de journée est si belle. » En écho total avec le cinéma-spleen du réal.

À écouter ici :

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