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Vidéo : de l’étonnement au simple plaisir, les effets que procure l’architecture au cinéma

  • Trois Couleurs
  • 2017-04-19

Que l’on pénètre dans la ville futuriste et fourmillante du Cinquième élément (1997),  que l’on observe de très bas les immenses buildings de New-York, que l’on se perde dans les quartiers post-modernes de Tokyo dans Lost in Translation (2003) ou bien encore que l’on balade nos yeux éberlués dans les bureaux parfaitement alignés, rectilignes – et un peu glaçants -, de Mon Oncle (1958), l’architecture en dit beaucoup sur un film, comme le montre la vidéo de Jorge Luengo Ruiz : elle imprime une atmosphère et va, de temps en temps, jusqu’à conditionner les personnages. Mais parfois, elle est simplement un atout esthétique que le spectateur se plaît à voir. Et ce désir de passer immédiatement de l’autre côté de l’écran prouve bien qu’on a rarement vu meilleurs guides touristiques que certains réalisateurs.

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