« Sorry we missed you » de Ken Loach: ce qu’en pensent les critiques sur Twitter

Si le jury d'Inarritu ressort dans le même état que moi de #SorryWeMissedYou, @KenLoachSixteen ne peut décemment pas être absent du palmarès. Et même espérer réaliser le coup du chapeau des Palmes. #Cannes2019 pic.twitter.com/5Jzacr4z7k

— ⭐️⭐️ Maximilien PIERRETTE (@maxp26) May 16, 2019

#Cannes2019 #SorryWeMissedYou #KenLoach La fracture sociale jusqu'à la béance. Plaies et cicatrices qui ne se referment pas. Loach dans ce qu'il sait faire le mieux, drame collectif puis tragédie individuelle dans un Royaume-Uni qui porte mal son nom. L'émotion saute à la gorge. pic.twitter.com/XeFdR216gL

— Pascal Gavillet (@PascalGavillet) May 16, 2019

« Sorry we misse you » : Amazon, ubérisation du marché du travail, graffitis… Ken Loach toujours aussi juste pour peindre la middle-class du Royaume-Uni : une famille très attachante avec de très bons acteurs, dans une histoire bien ficelée. #KenLoach #sorrywemissedyou pic.twitter.com/jCFArZGiby

— Olivier Ubertalli (@oubertalli) May 17, 2019

SORRY WE MISSED YOU hits real hard. A deeply sad and true portrait of life consumed by labour, played with affective rawness. It’s led by a major new name to remember: Kris Hitchen is absolutely heartbreaking #Cannes2019

— Ella Kemp (@efekemp) May 16, 2019

#SorryWeMissedYou est un Ken Loach kenloachien qui dénonce l’uberisation du travail. Les acteurs sont fabuleux comme d’hab mais il y a un côté pilotage automatique du scénario qui m’empêche d’être bouleversé.

— Yannick VELY (@yannickvely) May 16, 2019

#SorryWeMissedYou livre un portrait désespéré d’une société en proie à l’uberisation, en faisant éclater le pillier de la société : la famille. Si le message est loin d’être subtil, il conserve une force redoutable. #Cannes2019

— Suzy Bishop (@DLACDI) May 16, 2019

#SorryWeMissedYou avec ténacité et savoir faire, Ken Loach révèle les mécanismes de l’uberisation (culpabilisation, compétition, novlangue…) à travers une famille sous constante pression. La fin est glaçante #cannes2019

— Quentin Grosset (@QuentinGrosset) May 16, 2019